photo Espèces D’espaces

Espèces D’espaces

Spectacle

Martigues 13500

Du 25/06/2021 au 01/07/2021

Vendredi 25 juin au Mas de Pouane / Mardi 29 juin au parc de La Rode / Jeudi 1er juillet sur le plateau d'évolution de Canto-Perdrix. "Il est des lieux interlopes, des lieux consacrés, il en est où tous se croisent… Se hâtent à la chasse au temps, à l’efficacité, à la consommation. Aire de bitume, ère de béton. Espace public, espace privé, territoire commun ? Ces lieux sont un non-lieu. C’est un flux, un fleuve dont les berges réduites à la portion congrue ne retiennent que les improductifs. C’est lui que nous choisissons d’investir, non pas pour en briser l’écoulement mais, tel un rocher posé dans un torrent, pour créer de nouveaux remous. Une femme noire, un homme blanc, deux chevaux de trait blancs, deux étalons noirs. Ce groupe crée la surprise, le surgissement poétique, l’enchantement du quotidien. Loin des hiérarchies, loin des castes, le spectacle se veut une faille, une brèche. Un courant d’air. Sans angles ni cloisons, sans rien à vendre : ouvert, cyclique et donné." Cie Equinoctis.

photo Fragile Concrete - Maria Svarbova

Fragile Concrete - Maria Svarbova

Photographie - Vidéo

Marseille 13000

Du 26/06/2021 au 27/08/2021

Un travail dans lequel l’artiste ajoute à ses thèmes de prédilection - l’architecture moderniste et la distance sociale entre les individus, une variation mythologique sur notre expérience d’isolement, en même temps qu’un hommage solaire au génie des lieux. Kolektiv Cité Radieuse, galerie dédiée à l’impact des mouvements architecturaux du 20e siècle dans le design et les arts visuels, établie à l’Unité d’Habitation de Marseille, a convié la photographe slovaque Maria Svarbova à réaliser une série de clichés explorant la relation des êtres humains à la "machine à habiter" conçue par Le Corbusier. Bien qu’elles portent l’empreinte évidente de leur auteure et de sa vision de la relation des individus à l’esthétique moderniste, ces photos marquent aussi une nouvelle étape. La lumière aveuglante de la Méditerranée, le béton blanchi évoquant les falaises environnantes, les veines du bois imprimées dans les murs de l’Unité d’Habitation, créent ainsi des interférences naturelles dans l’univers esthétique essentiellement urbain de l’artiste. L’incommunicabilité entre un homme et une femme que ces clichés évoquent, résonne avec notre environnement actuel, mis en abime par[...]